Le Merle Blanc, Brest Dégâts plus ou moins naturels |
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Les désagréments subis par le quartier ne sont pas seulement dus au vandalisme. Un excès d'humidité fragilise parfois les murs ou les talus, qui s'effondrent sur la voie publique. Deux incidents de cette sorte sont survenus ces dernières années. Début novembre 2019, avec des conséquences jusqu'en février 2020 (première série d'images ci-dessous), et en août 2013. Cliquer sur les images pour les agrandir. |
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Dans la nuit du 2 au 3 novembre 2019, la tempête Amélie s'est abattue sur la pointe bretonne. Elle s'est accompagnée de violentes précipitations qui se sont apparemment infiltrées dans ce vieux mur rempli de terre, laquelle s'est transformée en boue. Le mur, fragilisé, s'est effondré sur la rampe du Merle Blanc, obstruant presque complètement la voie.
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Dès le lendemain, un passage minimal a été dégagé, puis plus ou moins sécurisé. Et les choses sont restées et l'état pendant deux bons mois.
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Ce n'est qu'en janvier 2020 que les travaux annoncés par le panneau de la deuxième image de la rangée précédente ont été entrepris. La reconstruction s'est finalement achevée le vendredi 7 février, et le lendemain le passage était redevenu libre (ci-dessous à gauche). Mais les travaux ont brièvement repris le mardi 25 (ci-dessous à droite) pour terminer le couronnement du mur.
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Si l'effondrement du mur montré plus haut était dû à des causes entièrement naturelles, ce n'est pas tout-à-fait le cas de ce qui s'est produit le 5 août 2013. L'effondrement du talus, au-dessus de la rue du Merle Blanc était le résultat d'un dysfonctionnement (rupture de canalisation ?) à un poste de lavage du matériel roulant de la SNCF. |
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Ci-dessus à gauche, le départ de l'effondrement, en haut du talus, au niveau du poste de lavage. À droite, devant le personnel de sécurité, le bas de la coulée de boue : des blocs de béton, des roches, de la terre. La rue est totalement barrée par les débris. Personne, heureusement, n'était présent à cet endroit au moment de l'effondrement, et aucun véhicule n'y passait.
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Ci-dessus à gauche, la traînée effondrée sur toute la hauteur du talus. À droite, le détail de son arrivée sur la rue. De la mousse, apparemment due à des détergents, marque la mare au premier plan, ce qui montre que les eaux responsables des dégâts proviennent bien du poste de lavage. Ci-dessous deux vues du déblaiement, permettant de mesurer la taille des blocs de béton effondrés (en particulier celui que manipule sur l'image de gauche un engin de chantier) et d'imaginer les conséquences si quelqu'un s'était trouvé là. |
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