En rade de Brest
Photos de maërl


Barre de navigation ]


Voici des photos de maërl en rade de Brest, soumises à des droits de reproduction. Les photos 1, 2 et 3 ont été prises par Erwan Amice, ingénieur d'études, plongeur et photographe dans un laboratoire de recherche sur l'environnement marin (LEMAR) qui dépend de l'Université de Bretagne Occidentale, à Brest, et du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) en association avec d'autres organismes. Ses photos sont diffusées, sous condition, par la photothèque du CNRS. La photo 4 est due à Yves Gladu, photographe indépendant qui peut être contacté par l'intermédiaire de son site.

Cliquer sur ces images pour les agrandir.

Un grand merci à Jacques Grall, ingénieur de recherche au LEMAR, pour son aide à l'identification de plusieurs des espèces présentes sur les fonds de maërl. [ note ]

Retour



Photo de maërl prise en plongée

Sur ce fond de maërl, dont une proportion notable est morte (arbuscules blanc-jaunâtres), les rameaux renversés de l'éponge Haliclona simulans ne restent vivants que dans leur partie jaune. Le fond est parsemé de feuilles mortes de zostères et de nombreuses ascidies Phallusia mammillata apparaissent à l'arrière-plan. Retour haut de page ]



Photo de maërl prise en plongée

Le maërl est en grande partie vivant (arbuscules roses). Légèrement à gauche du centre de l'image, la valve creuse d'une coquille Saint-Jacques morte est assez encombrée : des rameaux en plus grande partie morts de de l'éponge Haliclona simulans, une coquille vide de crépidule (Crepidula fornicata), un pétoncle noir (Mimachlamys varia) vivant. À droite de cet ensemble une autre valve, retournée, de coquille Saint-Jacques, au-dessus de laquelle on voit une petite colonie de crépidules, probablement vivantes. À la périphérie, des ascidies Phallusia mammillata et de petits buissons de l'algue Dictyota dichotoma. Les débris ne sont pas tous marins : en plus des feuilles mortes de zostères, on remarque une feuille de chêne. Retour haut de page ]



Minuscule crabe enjambant une éponge, sur fond de maërl

Un très petit crabe (probablement Macropodia rostrata) ressemblant à une araignée de mer en miniature (la largeur de son corps est de l'ordre de 2 cm) enjambe une éponge (Suberites ficus) où se sont incrustés des fragments de maërl. Le crabe est difficile à voir au premier coup d'oeil ? C'est normal. La capacité qu'ont certains animaux à se confondre avec leur environnement s'appelle du mimétisme. La tache blanchâtre, en bas à droite de l'image, est un mollusque sans coquille (Berthella stellata) ressemblant vaguement à une limace. Retour haut de page ]



Photo de maërl prise en plongée

Sur ce lit de maërl, près du centre de l'image, un oursin d'assez grande taille (une dizaine de centimètres) appartenant à une espèce (Sphaerechinus granularis) différente de celle que certains trouvent comestible. Il tient par les ventouses de ses tubes ambulacraires ce qui semble être une coquille de pétoncle. On voit aussi de nombreuses petites pousses de l'algue brune Dictyota dichotoma. Les taches oranges correspondent à des éponges que l'on ne distingue pas assez bien pour les identifier. Retour haut de page ]


Retour

Accueil ] [ L'Association ] [ Adhérer ] [ Nos actions ] [ Les animations ]
Présentation du quartier ] [ Visite en images ] [ Incivilités ] [ Dégâts naturels ] [ Hier et aujourd'hui ]
Le vrai merle blanc ] [ D'où vient le nom ? ] [ Merle ou Maërl ? ] [ Les liens ] [ Guide d'accès pour les secours ]


Nous écrire :

cliquer pour envoyer un message

Cliquer sur l'adresse pour poster en ligne
Pas de SPAM : circulaires, publicité, sollicitations commerciales, etc. Merci !